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    La mère des prostituées démasquée

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    Message  Arlitto Mer 18 Nov 2020 - 14:52

    Rappel du premier message :

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    La mère des prostituées démasquée

    La mère des prostituées démasquée - Page 3 Wlkk
    La grande prostituée est démasquée.

    Apocalypse 17 :

    “1 Et l'un des sept anges, qui tenaient les sept coupes vint et me parla, disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur de grandes eaux, 2 avec laquelle les rois de la terre se sont livrés à la fornication, et les habitants de la terre ont été enivrés du vin de sa fornication. 3 Et il me transporta en esprit dans un désert, et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphèmes, et qui avait sept têtes et dix cornes. 4 Et la femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or et de pierres précieuses et de perles ; elle avait à la main une coupe d'or pleine des abominations et des impuretés de sa fornication. 5 Et sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. 

    6 Et je vis la femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus : et en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement. 7 Et l'ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, et qui a les sept têtes et les dix cornes. 8 La bête que tu as vue a été et n'est plus ; et elle doit monter de l'abîme et s'en va à la perdition ; et les habitants de la terre, dont le nom n'est pas écrit dans le livre de la vie dès la fondation du monde, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. 9 C'est ici que doit se montrer l'intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. (…) 18 Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre.”
    (Apocalypse 17 : 1 – 9, 18)


    L’interprétation de la Grande Prostituée d’Apocalypse 17:

    La femme représente l’Eglise. Comme elle est qualifiée de prostituée, cela veut dire qu’elle a abandonnée le vrai message du Seigneur pour des pratiques païennes. 

    Elle est la mère des prostituée parce que d’elle sont sorties d’autres mouvements qui ne sont pas eux aussi resté dans la doctrine du Christ. 

    Cette église égarée est l’Eglise Catholique, parce qu’Apocalypse 17 : 9 et 18 indiquent que la femme est assise sur sept montagnes et qu’en fait elle est une ville qui règne sur les rois de la Terre. 

    Or, l’Eglise Catholique a son siège a Rome (elle est d’ailleurs appelée “Eglise de Rome”), une ville qui est construite sur 7 collines (on l’appelle d’ailleurs “Urbi Septicollis” = la ville aux sept collines) et qu’à l’époque de l’écriture du livre d’Apocalypse et pendant plus d’un millénaire elle était la ville maîtresse du monde. L’Eglise catholique, pendant qu’elle était la religion d’Etat dans l’empire romain et d’autres pays d’Europe, avait fait couler le sang de beaucoup de ceux qui refusaient sa doctrine, chose qui la rapproche encore de la description de la Grande Prostitué car celle-ci est ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. 


    La grande prostituée a forniqué avec les rois de la terre "les pouvoirs terrestre"

    L'eglise Catholique et Hitler
    http://www.nobeliefs.com/nazis.htm

    http://www.rationalisme.org/french/moralite_missionnaires_2.htm

    Une Image Vaut Mille Mots.
    http://alamoministries.com/French/Antichrist/nazigallery/photogalleryFr.html
    http://www.matagne-maurice.be/@SITE%20DES%20MATAGNE/FTP-11%20RELIGIONS/FTP-VATICAN%20NAZI/vatican%20nazi.htm

    LES CRIMES DE L'INQUISITION
    http://kropot.free.fr/LAAC-Inquisition.htm

    L'église catholique romaine la prostituée d'apocalypse
    http://esaie.free.fr/niveau2/prostituee.htm

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    Message  Arlitto Mer 18 Nov 2020 - 15:10

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    La mère des prostituées dans ses abominations

    Les ennemis du Nom de Dieu


    Le Tétragramme révèle-t-il la Trinité et le plan de salut de Dieu ?



    Les juifs croient que dans le Nom sacré de Dieu révélé à Moïse se trouvent cachés tous les mystères de Dieu et une lecture naturelle y reconnait effectivement le mystère de la Trinité et l'annonce du plan de salut de Dieu, qui passe par la venue du Messie éternel de Dieu.





    Mon commentaire : 

    Dieu est unique est sans égal, pas de trinité dans la Bible, Jésus lui-même dit clairement qu'il n'est pas Dieu, la trinité est une invention humaine et tardive issue des conciles Nicée et Constantinople (325, 381). Pour les Juifs jamais Dieu n'a été une trinité, il en est de même avec le juif Jésus, son Fils unique.


    Bible : 

    Paroles de Jésus : Jean 17:3 Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, TOI, LE SEUL VRAI DIEU, ET CELUI QUE TU AS ENVOYÉ, Jésus-Christ. 4 Je t'ai glorifié sur la terre, j'ai achevé l'oeuvre que tu m'as donnée à faire.


    (Psaume 83:18) pour qu’on sache que toi, dont le nom est YHWH, tu es, toi seul, le Très-Haut sur toute la terre !

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    Message  Arlitto Mer 18 Nov 2020 - 15:10

    La mère des prostituées dans ses abominations

    Les ennemis du Nom de Dieu

    Actes du Saint-Siège
    Le nom de Dieu
    Lettre du cardinal F. Arinze aux Conférences des évêques
    Texte en français dans Notitiae de juin 2008

    Éminence, Excellence,
    Par directive du Saint-Père, et en accord avec la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, cette Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements désire communiquer aux Conférences des évêques la note suivante concernant la traduction et la proclamation, dans le cadre de la liturgie, du nom de Dieu, qui est signifié dans le tétragramme sacré, en accompagnant cette présentation d'une partie normative.

    I – Présentation

    1. Les mots de la Sainte Écriture contenus dans l'Ancien et le Nouveau Testament expriment des vérités qui transcendent les limites imposées par le temps et l'espace. Ces mots sont la Parole de Dieu, contenue dans des paroles humaines. Par ces paroles de vie, l'Esprit Saint introduit les fidèles à la connaissance de la vérité tout entière, et il fait en sorte que la parole du Christ habite dans les croyants avec toute sa richesse (cf. Jn 14, 26 ; 16, 12-15). Afin que la Parole de Dieu, écrite dans les textes sacrés, soit conservée et transmise d'une manière intégrale et fidèle, toute traduction moderne des livres bibliques se fixe comme but d'être la transposition fidèle et soignée des textes originaux. Un tel devoir, sur le plan littéraire, exige que le texte original soit traduit avec le maximum d'intégrité et de soin, sans recourir à des omissions ou à des ajouts quant à son contenu, et sans introduire des gloses ou des paraphrases explicatives qui n'appartiennent pas au texte sacré.

    Quand il s'agit du saint nom de Dieu lui-même, les traducteurs doivent faire preuve, au plus haut point, de fidélité et de respect. En particulier, comme le dit le n. 41 de l'Instruction Liturgiam authenticam, « en se conformant à une tradition immémoriale, évidente déjà dans la Septante, le nom de Dieu tout-puissant, exprimé en hébreu dans le tétragramme, et traduit en latin par le vocable “Dominus”, doit être rendu dans chaque langue vernaculaire par un mot de la même signification » [« Iuxta traditionem ab immemorabili receptam, immo in (…) versione “LXX virorum iam perspicuam, nomen Dei omnipotentis, sacro tetragrammate hebraice expressum, latine vocabulo “Dominus”, in quavis lingua populari vocabulo quodam eiusdem significationis reddatur »].

    Malgré cette disposition, pourtant si claire, on a remarqué, ces dernières années, que s'est répandu l'usage de prononcer le nom du Dieu d'Israël, qui est connu sous la forme du tétragramme sacré ou divin ; celui-ci est écrit avec les quatre lettres consonantes de l'alphabet hébreu sous la forme éäåä, YHWH. 

    On relève donc l'usage de sa vocalisation aussi bien dans la lecture des textes bibliques contenus dans les Lectionnaires, que dans des prières et des chants, selon des formes diverses d'écriture et de prononciation, comme par exemple « Yahweh », « Yahwè », « Jahweh », « Jahwè », « Jave », « Jehovah », etc. C'est pourquoi, nous avons l'intention, dans la présente lettre, d'exposer quelques points essentiels qui justifient la norme susmentionnée, en ajoutant quelques dispositions à observer.


    Le tétragramme divin

    2. La vénérable tradition biblique des Saintes Écritures, connue sous le nom d'Ancien Testament, atteste l'existence d'une série d'appellations au sujet de Dieu, parmi lesquelles le saint nom de Dieu révélé dans le tétragramme YHWH (éäåä). En tant qu'expression de la grandeur infinie et de la majesté de Dieu, le tétragramme était considéré comme imprononçable, et c'est pourquoi il était substitué, dans la lecture du texte sacré, par une autre appellation : « Adonay », qui signifie : « Seigneur ».

    Dans la traduction grecque de l'Ancien Testament, appelée « Septante », qui date des derniers siècles précédant l'ère chrétienne, on avait pris l'habitude de rendre le tétragramme hébreu par le mot grec Kyrios, qui signifie « Seigneur ». Puisque le texte de la Septante constitua la Bible des premières générations chrétiennes de langue grecque, et que c'est aussi en grec qu'on écrivit tous les livres du Nouveau Testament, ces chrétiens des origines n'ont jamais prononcé le tétragramme divin. 

    Il en fut de même, d'une manière semblable, pour les chrétiens de langue latine, dont les premiers écrits datent de la fin du IIe siècle, comme l'attestent, tout d'abord, la Vetus latina, puis la Vulgate de saint Jérôme : dans ces traductions, le tétragramme était aussi habituellement substitué par le mot latin « Dominus », qui correspond soit à l'hébreu Adonay, soit au grec Kyrios. Ce que l'on vient d'affirmer vaut aussi pour la récente Nova Vulgata, que l'Église utilise dans la liturgie.



    Ce fait a eu des conséquences importantes dans un autre domaine, celui de la christologie néotestamentaire. En effet, quand saint Paul, à propos du Crucifié, écrit que « Dieu l'a élevé au-dessus de tout ; il lui a conféré le Nom qui surpasse tous les noms » (Ph 2, 9), il n'entend pas lui attribuer un autre nom que celui de « Seigneur », puisqu'il continue en disant : « … et que toute langue proclame : “Jésus-Christ est le Seigneur” » (Ph 2, 11 ; cf. Is 42, 8 : “Je suis le Seigneur : tel est mon nom”)

    Rolling Eyes Rolling Eyes Rolling Eyes
    Isaïe 42:8 BCC1923
    Je suis Yahweh; c'est là mon nom, et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, ni mon honneur aux idoles
    BCC1923: Bible catholique Crampon 1923

    L'attribution de ce titre de « Seigneur » au Christ ressuscité correspond, ni plus, ni moins, à la proclamation de sa divinité. De fait, ce titre est devenu interchangeable entre le Dieu d'Israël et le Messie de la foi chrétienne, alors qu'il ne faisait absolument pas partie des titres du Messie d'Israël. Sur un plan strictement théologique, on le rencontre, par exemple, déjà dans le premier évangile canonique (cf. Mt 1, 20 : « L'ange du Seigneur apparut en songe à Joseph ») et on le voit apparaître habituellement dans les citations vétérotestamentaires (cf. Ac 2, 20 : « Le soleil se changera en ténèbres… avant que vienne le jour du Seigneur »

     [Jl 3, 4] ; 1 P 1, 25 : « la parole du Seigneur demeure pour toujours » [Is 40, 8]. En revanche, dans un sens proprement christologique, en plus du texte déjà cité de Ph 2, 9-11, on peut rappeler celui de Rm 10, 9 (« Si tu affirmes de ta bouche que Jésus est Seigneur, si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts, alors tu seras sauvé »), de 1 Co 2, 8 (« … ils n'auraient jamais crucifié le Seigneur de gloire »), et de 1 Co 12, 3 (« Sans le Saint-Esprit, personne n'est capable de dire : “Jésus est le Seigneur” ») et la formule fréquente désignant le chrétien qui vit « dans le Seigneur » (Rm 16, 2 ; 1 Co 7, 22 ; 1 Th 3, 8 ; etc.).

    3. L'omission de la prononciation du tétragramme du nom de Dieu de la part de l'Église a donc sa raison d'être. En plus d'un motif d'ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n'a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible.

    II – Partie normative
    À la lumière de ce qui a été exposé ci-dessus, il est demandé d'observer les points suivants :

    1. On ne doit pas adopter, ni prononcer le nom de Dieu sous la forme du tétragramme YHWH dans les célébrations liturgiques, dans les chants et dans les prières.

    2. Pour les traductions du texte biblique dans les langues modernes, qui sont destinées à l'usage liturgique de l'Église, on doit suivre ce qui a déjà été prescrit dans le n. 41 de l'Instruction Liturgiam authenticam. Ainsi, le tétragramme divin doit être rendu par le mot équivalent de Adonai/Kyrios, c'est-à-dire : « Seigneur », « Signore », « Lord », « Herr », « Señor », etc.


    3. Pour établir les traductions liturgiques des textes où sont présents, l'un après l'autre, soit le mot hébreu Adonay, soit le tétragramme YHWH, on doit traduire Adonay par « Seigneur », et le tétragramme par la forme « Dieu », comme dans la traduction grecque de la Septante, et latine de la Vulgate.

    Du siège de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements, le 29 juin 2008,

    Francis cardinal ARINZE
    Préfet
    Mgr Albert Malcolm RANJITH,
    Secrétaire

    https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2417/Le-nom-de-Dieu-2013-04-09-930755

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