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La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:51

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    Le Dr Hans-Joachim Zillmer prouve que le monde académique, piégé par les dernières découvertes scientifiques, veut maintenir à tout prix la théorie de l'évolution, car autrement tous les manuels scolaires seraient non seulement à réécrire, mais les forceraient aussi à reconnaître que d'autres civilisations ont vécu avant nous, et qu'elles ont été toutes décimées par des catastrophes régulières.

    Dans Darwin: le mensonge de l'Évolution, le Dr Zillmer montre que les scientifiques ont :

    1) ouvertement triché au cours de ces 50 dernières années pour maintenir le public dans l'ignorance des nouvelles découvertes archéologiques allant contre la thèse de l'évolution ;


    2) qu'ils n'ont pas hésité à fabriquer des fausses preuves darwiniennes ( au point que certains ont même été traduits en justice comme faussaires )


    3) qu'ils se servent de procédés bien peu scientifiques dès qu'il s'agit de garantir, par tous les moyens, la véracité de la thèse darwinienne qui s'étiole pourtant chaque jour.

    La raison ? L'effondrement de la théorie de l'évolution remettrait en cause la totalité de la pensée et de la philosophie actuelles, et focaliserait trop sur les divers cataclysmes qui ont bouleversé notre planète à plusieurs reprises ce qui explique pourquoi on retrouve des outils, des métaux, des os et des traces de pas et de mains qui ne coïncident pas avec la chronologie darwinienne. UN LIVRE CHOC.

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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:51

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    L'homme de Piltdown, "le chaînon manquant", une belle escroquerie scientifique qui a duré plus de 40 ans.


    Mensonge scientifique 1qn3  Mensonge scientifique Z4it Crâne de l’homme de Piltdown – Kevan/Foter


    L'homme de Piltdown est bien la preuve que les scientifiques nous mentent...


    L'homme de Piltdown, vaste supercherie...Cette histoire, qui date quand même de 1912, est tout à fait vraie. 

    Les chercheurs de l'époque se sont fait berner par la pseudodécouverte d'un crâne humain associé à une mâchoire inférieure d'orang-outan.

    Oui il y a bien eu tromperie et fraude.

    Et ce faux ancêtre de l'homme, appelé Homo (Eoanthropus) dawsoni a été repris dans de nombreuses communications scientifiques. La plupart des scientifiques se sont, à l'époque, fait avoir.

    Il est toujours impossible de savoir qui est le faussaire de l'époque et de nombreux noms ont été cités: Dawson, Sir Arthur Conan Doyle, Teillhard de Chardin.... En 1920 un anatomiste démontra la supercherie mais il faudra attendre 1953 pour que des analyses irréfutables apportent la preuve que le fossile était faux. A l'heure actuelle une telle mystification serait démasquée immédiatement.


    La fraude scientifique. On la cache, on la nie. Pourtant, elle existe. Les cas sont plus nombreux que l’on ne pense.


    Scientifiques de renom ou chercheurs à la popularité plus modeste, ils ont manipulé leurs recherches et leurs résultats pour confirmer une conviction, se faire (re)connaitre, devenir pionniers dans leur domaine ou par pure folie.


    http://www.sciencepresse.qc.ca/scandales/piltdown.html

    http://lascienceenfraude.blogspot.fr/20 ... cetre.html


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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:51

    La science en fraude

    L’Homme de Piltdown, notre ancêtre l’imposteur.

    L’Homme de Piltdown, ce nom n’évoque peut être pas grand chose aujourd’hui et pourtant… cet hominidé découvert au début du xxe siècle a bien failli remettre en cause de nombreuses découvertes sur l’origine de notre espèce.

    La miraculeuse découverte    

    En 1899, à Piltdown, Mr Charles Dawson, avocat passionné de paléontologie et membre actif de la Geological Society of London,découvre une carrière. Interrogeant des ouvriers présents sur le site, il les prie de bien vouloir l’avertir si d’éventuels ossements faisaient surface. Quelque temps après, un ouvrier lui apporte un fragment d’os plat. Dawson reconnaît un morceau de crâne humain. Il entreprend alors des fouilles qui durent trois ans.

    Ce n’est qu’en 1912 qu’il fait appel à un vieil ami, Arthur Smith Woodward, conservateur au British Museum, pour lui parler de ses trouvailles. Dawson lui montre un crâne humain ainsi que quelques fossiles de mammifères, comme la dent d’un éléphant. Selon la technique de datation de l’époque, ces fossiles appartenant au même gisement seraient contemporains. Ils réussissent à dater la dent d’éléphant d’il y a environ 500 000 ans. Par analogie, cela correspondrait également à l’âge du crâne.
    En juin, un nouveau personnage entre en scène : le jeune étudiant jésuite de Chardin. Celui-ci les rejoint dans leurs recherches et ils découvrent les vestiges d’une moitié droite de mâchoire. Cette mâchoire ressemble nettement à celle d’un singe. Néanmoins, elle présente deux molaires à l’usure plate comme chez les humains. Il est donc normal pour les trois hommes d’associer la mâchoire au crâne trouvé précédemment.
    Emballé par cette découverte, Smith Woodward apporte tous ces fragments au British Museum et assemble le crâne en comblant les éléments manquants avec de la pâte à modeler. Le nouveau visage de l’Homme est alors gardé secret, jusqu’en décembre 1912 où il est présenté à la Geological Society à Londres. Ayant stupéfait les plus grands savants anglais, l’Homme de Piltdown est  exposé au British Museum de Londres en tant que « chaînon manquant » entre l’Homme et le singe.
    La fierté de l’Angleterre
    Pour l’Angleterre, la découverte de l’Homme de Piltdown est une victoire, une revanche. Au début du xxe siècle, l’Angleterre est moins dotée en découvertes paléontologiques que ses voisins français et allemands. Depuis 1850, l’ancêtre de l‘Homme, découvert en France, s’appelle Homo Neandertalis. C’est donc une immense fierté pour les Anglais de savoir qu’un Homme encore plus vieux que ce dernier a été découvert sur leur territoire. Se mêlent alors fantasmes et  glorification dans les journaux anglais : « Adam serait Anglais ! », « L’Angleterre,   berceau   de l’humanité ».

    Alors que le peuple se réjouit, les savants se méfient : l’homme de Piltdown, quelques mois après sa découverte, fait déjà débat. Son crâne semble nettement plus évolué que celui de l’Homme de Néandertal. Pourtant, ce dernier est de 500 000 ans son cadet. Les anthropologues français et américains supposent que les fossiles appartiennent à deux individus distincts. Néanmoins, la notoriété de Woodward et de nouvelles trouvailles vont réussir à convaincre les sceptiques. En 1913, Teilhard trouve sur le même site une nouvelle dent appartenant à la mâchoire. En 1915, Dawson trouve un second crâne et une seconde mâchoire qu’il réassemble et qualifie de deuxième Homme de Piltdown. Dawson décède un an plus tard.

    La fraude démasquée
    L’Homme de Piltdown demeure l’Homme le plus vieux du monde jusqu’en 1924, période à laquelle l’Australopithèque est exhumé en Afrique. Celui-ci, âgé de 4,4 millions d’années, est beaucoup plus ancien que l’Homme de Piltdown. C’est principalement après la seconde guerre mondiale que la notoriété de ce fossile est ébranlée. En effet, un nouveau système de datation est découvert : la datation au fluor. Le principe est que lorsqu’un élément repose dans un sol, celui-ci absorbe le fluor des roches qui l’entourent. Ainsi, en mesurant la quantité de fluor de plusieurs fossiles, il est possible de définir leur appartenance aux sols et leur âge relatif.

    C’est un dénommé Oakley (docteur en paléontologie) qui soumet l’Homme de Piltdown à ce test en 1949. Il observe que la dent d’éléphant trouvée à Piltdown et le crâne de l’Homme ne possèdent pas le même taux de fluor et qu’ainsi ils ne peuvent pas être contemporains. Vu la faible quantité de fluor que contient le crâne, celui-ci est âgé au plus de 40 000 années. Il est alors inconcevable d’imaginer que le lien entre l’Homme et le singe ne remonte qu’à si peu de temps. L’Homme de Piltdown n’a plus sa place dans l’évolution humaine.



    Le fossile posant de trop nombreux problèmes, le Dr Oakley fait appel à un prestigieux anatomiste de l’époque et son assistant : le professeur Le Gros Clarck et le docteur J.S Weigner. Les résultats de leur analyse chimique, physique et anatomique sont accablants : le crâne et la mâchoire n’appartiennent pas au même individu. Le crâne serait celui d’un Homme moderne et la mâchoire celle d’un orang-outan. De plus, ce dernier aurait été teinté au bicarbonate de potassium pour lui donner un aspect de fossile. Quant à la dent d’éléphant qui a servi de repère temporelcelle-ci est bien un fossile ancien mais qui n’appartient pas au gisement de Piltdown. Elle provient d’un terrain paléontologique connu de Malte.

    A la fin de l’année 1953, le bulletin géologique du British Museum annonce, quarante ans après sa révélation au monde, que l’Homme de Piltdown n’est qu’une vulgaire supercherie. Le coup de grâce est donné en 1959 avec l’arrivée de la datation au Carbone 14 : le crâne appartient à un homme du Moyen-Age et la mâchoire à un singe d’à peine 500 ans.



    Qui est l’auteur de la fraude ?
    Il s’agit donc bel et bien d’une fraude scientifique. On l’a même qualifiée de la plus importante du xxe siècle. Mais qui en est l’auteur ? Plusieurs grands noms de la Science ont été suspectés. Le premier est Ruskin Butterfield, conservateur du musée d’Hasting (Sud de Londres) qui a eu quelques litiges avec Dawson. Plusieurs années auparavant, Dawson avait ramené de contrées lointaines un fossile d’Iguanodon qu’il avait refusé de confier à Butterfield. Ce dernier aurait-il voulu se venger ? Passons maintenant à Woodward, le compagnon de Dawson. Il a été intégralement innocenté, du fait de sa notoriété et de sa réputation d’homme intègre.


    La thèse la plus probable est que Dawson a mis en place cette supercherie avec l’aide de Teilhard de Chardin. Dawson était un homme qui voyageait très peu, il lui était difficile de se procurer des fossiles tels que la dent d’éléphant de Malte. Il se serait donc fait aider par Teilhard de Chardin qui, quant à lui, avait voyagé en Egypte pendant sa jeunesse chez les Jésuites.


    Ce qui pousse à valider cette dernière hypothèse, c’est que Oakley a correspondu, des années après la révélation de la fraude, avec Teilhard. Celui-ci a dit avoir découvert le second Homme de Piltdown avec Dawson en 1913. Grave erreur : souvenez-vous, le deuxième crâne a été découvert en 1915. Teilhard se trompe d’abord sur la date. Surtout, il ne pouvait pas être présent en 1915 en Angleterre puisqu’il était au front, en France. Le mensonge de Teilhard de Chardin est ainsi considéré comme la preuve de sa culpabilité.


    La question qui reste en suspens est : pourquoi ? Qu’est ce qui pousse deux hommes aux carrières accomplies à monter un tel scénario ? Le besoin de reconnaissance ? La vanité ? L’excès de chauvinisme ? Ou simplement l’envie de tester la crédulité du monde entier ?

    BIBLIOGRAPHIE 


    DE PRACONTAL Michel, L’Imposture scientifique en dix leçons, Seuil, 2005, leçon 5, p. 145-152.
    DELUZARCHE Céline, « L’homme de Piltdown », L’internaute, 2006,http://linternaute.com (dernière consultation 21 avril 2012).
    DEVILLIERS Charles, « Interrogations sur un vieux problème : l'homme de Piltdown », archive du Comité français d’histoire de la géologie, 1990, http://annales.org(dernière consultation le 21 avril 2012).
    HERBERT Thomas, Le Mystère de l’homme de Piltdown, édition Belin, 2002.
    MARCIL Claude, « L’homme de Piltdown : Adam était britannique », Sciencepresse, 2012, http://www.sciencepresse.org(dernière consultation le 21 avril 2012).
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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:56

    La face cachée de l'évolution théorie trompeuse


    "L'Homme du Nebraska fut le nom attribué par la presse populaire à Hesperopithecus haroldcookii, une espèce putative de grand singe. 

    Hesperopithecus signifie «singe du monde occidental», il a été présenté comme le premier primate supérieur de l'Amérique du Nord. Bien que n'étant pas une mystification délibérée, la classification a été prouvée comme étant une erreur.


    Le Muséum d'histoire naturelle de Grande-Bretagne dut reconnaître que l'homme de Piltdown était une supercherie : Those who took part in the excavation at Piltdown had been the victims of an elaborate and inexplicable deception1. Perfides, des quotidiens européens et américains se complurent à relater que « L'Anglais le plus vieux n'était qu'un singe ».  


    Des spécimens du Siwalik, autrefois attribués au genre Ramapithecus (le ramapithèque), sont maintenant considérés par la plupart des chercheurs comme appartenant à une ou à plusieurs espèces du genre Sivapithecus. Le ramapithèque n'est plus considéré comme un ancêtre potentiel des humains.


    La face cachée de l'évolution théorie trompeuse



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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:57

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    Le témoignage du registre fossile


    A. Les fossiles sont la seule preuve directe de l’évolution

    Comme Darwin l’avait reconnu en son temps, la doctrine de l’évolution tient ou tombe avec les fossiles. Selon cette théorie, si elle est vraie, une quantité colossale de fossiles de créatures intermédiaires doit être enfermée dans les strates géologiques. 

    Ces fossiles sont l’unique preuve possible de l’existence, à un moment donné du passé, du passage entre espèces différentes. Or, cette preuve unique était absente à l’époque de Darwin. Darwin reconnaissait cette absence de formes intermédiaires, mais il l’attribuait au faible nombre de fossiles découverts et à l’extrême rareté de leur formation.

    Darwin pensait, espérait que les recherches paléontologiques confirmeraient sa théorie ; de son vivant, il se cramponnait à cette hypothèse devenue sa vision du monde. Mais aujourd’hui les muséums du monde entier contiennent plus de 200 millions de fossiles, de sorte qu’il est impossible d’avancer que le registre fossile est incomplet.

    Comme Carl Werner l’écrit en citant de nombreux paléontologues réputés, « les archives fossiles sont complètes, équilibrées, précises et impressionnantes ». 

    Que nous enseignent donc, aujourd’hui, les fossiles après cent  cinquante ans de recherches et de fouilles intenses ? 

    Il est possible d’affirmer que les fossiles témoignent d’une histoire de la Terre marquée par des catastrophes de grande ampleur, de la discontinuité, de la complexité et de la stabilité des espèces.


    La discontinuité du registre fossile

    Pratiquement toutes les nouvelles espèces fossiles découvertes depuis les années 1860, représentant des milliers d’espèces différentes, montrent soit des formes voisines ou identiques aux espèces connues, soit des types, des groupes uniques de parenté inconnue. 

    L’absence de nombreuses formes intermédiaires exigées par la théorie de l’évolution est remarquable. Dès le début de leur apparition dans les archives fossiles, les onze grands types d’invertébrés sont complètement distincts les uns des autres.

    Ces groupes fondamentaux sont donc apparus sans histoire évolutiveLes fossiles démontrent les fossés énormes qui existent entre toutes les espèces, passées et présentes.

    Ces faits bruts justifient un verdict sans appel de la part des scientifiques évolutionnistes les plus renommés :

    ◾George Neville : « … le registre fossile continue toujours d’être composé principalement par des fossés. »

    ◾Stephen Jay Gould : « … L’archive fossile avec ses transitions abruptes ne soutient en rien un changement graduel Tous les paléontologistes savent que l’archive fossile contient précisément peu de formes transitoires ; les transitions entre les groupes majeurs sont caractéristiquement abruptes[6]. »

    ◾Steven M. Stanley : « … le registre fossile connu ne documente pas un seul exemple d’évolution phylogénique accomplissant une transition morphologique majeure et donc n’offre aucune preuve que le modèle gradualiste puisse être valable[7]. »


    Autrement dit, les fossiles ne témoignent en rien d’une histoire transformiste graduelle mais bien plutôt d’apparitions soudaines de créatures entièrement formées et fonctionnelles, soit de créations spéciales.


    http://larevuereformee.net/articlerr/n2 ... -les-faits

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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:57

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    Les mécanismes imaginaires de l'évolution


    Le deuxième point important qui remet en cause la théorie de Darwin est qu'il s'est avéré que les deux concepts avancés comme "des mécanismes de l'évolution" n'avaient en fait aucun pouvoir d'évoluer.

    Darwin a basé toute sa théorie de l'évolution sur le mécanisme de "la sélection naturelle". L'importance qu'il a placée sur ce mécanisme est mise en évidence par le nom de son livre: The Origin of Species, By Means Of Natural Selection (De l'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle)… 

    La sélection naturelle soutient que seuls les êtres vivants les plus forts et les mieux adaptés aux conditions naturelles de leur environnement survivront dans leur lutte pour la vie. Prenons l'exemple d'un troupeau de cerfs menacé d'être attaqué par des animaux plus sauvages et voraces. Selon la théorie, seuls survivront ceux qui pourront courir assez vite pour échapper à leurs prédateurs. Finalement, le troupeau de cerfs ne sera constitué que des individus les plus rapides et les plus forts. Cependant, et incontestablement, ce mécanisme n'entraînera aucune évolution chez le cerf et encore moins sa transformation en une autre espèce vivante, par exemple, en cheval.

    Ainsi, le mécanisme de la sélection naturelle n'a aucun pouvoir évolutif. Darwin était du reste très conscient de ce fait et a dû finalement l'affirmer dans son livre The Origin of Species:

    La sélection naturelle ne peut rien faire tant que des variations favorables n'ont pas la chance d'avoir lieu.

    Le mensonge de l'évolution humaine

    Le sujet le plus souvent évoqué par les défenseurs de la théorie de l'évolution est celui de l'origine de l'homme. La prétention darwiniste soutient que les hommes modernes d'aujourd'hui proviennent de quelques créatures ressemblant aux singes.

    Durant le processus évolutionniste avancé, et qui est supposé avoir commencé il y a 4 à 5 millions d'années, ils prétendent que "des formes transitionnelles" entre l'homme moderne et ses ancêtres ont existé. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" de base sont listées:

    1. l'Australopithèque 
    2. l'Homo habilis 
    3. l'Homo erectus
    4. l'Homo sapiens

    Les évolutionnistes appellent les prétendus premiers ancêtres de l'homme, ceux encore identiques aux singes, "Australopithèque", ce qui signifie "singe sud-africain"

    Ces créatures ne sont en réalité qu'une ancienne espèce de singe qui s'est depuis éteinte. Les recherches étendues faites sur divers spécimens d'Australopithèques par deux anatomistes anglais et américain célèbres, Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont démontré que ceux-ci appartenaient à une espèce de singe ordinaire qui s'est éteinte et qu'ils n'avaient par ailleurs aucune ressemblance avec les hommes.

    Les évolutionnistes classifient l'étape suivante de l'évolution humaine par le terme "homo", qui signifie "homme". Selon l'affirmation évolutionniste, les êtres vivants appartenant aux catégories de l'Homo sont plus développés que ceux de l'Australopithèque. 

    Les évolutionnistes conçoivent un schéma évolutif imaginaire en classifiant les différents fossiles de ces créatures dans un ordre particulier. Cette classification est imaginaire car aucune relation évolutionniste n'a jamais été démontrée entre ces différentes classes. Ernst Mayr, l'un des principaux défenseurs de la théorie de l'évolution au 20ème siècle, admit ce fait en disant que "la chaîne remontant à l'Homo sapiens est en réalité perdue".

    En schématisant la chaîne de lien de la façon suivante: "Australopithèque > Homo habilis > Homo erectus > Homo sapiens" les évolutionnistes déduisent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de la suivante. Pourtant, les découvertes récentes des paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo habilis et l'Homo erectus ont vécu dans différentes régions du monde et ceci au même moment. 

    De plus, un certain segment des humains classifiés dans la catégorie "Homo erectus" aurait vécu jusqu'aux temps les plus modernes. Quant à l'homme de Neandertal, classé parmi la catégorie "Homo sapiens", ainsi que l'Homo sapiens sapiens (l'homme moderne), ils auraient tous deux coexisté dans la même région.

    Cette situation infirme donc la prétention qu'ils seraient ancêtres les uns des autres. Stéphane Jay Gould, un paléontologue de l'Université d'Harvard, explique l'impasse dans laquelle s'est trouvée la théorie de l'évolution bien qu'il soit lui-même un évolutionniste:

    Qu'est-il donc arrivé à notre échelle si trois lignées d'hominiens se retrouvent coexistants (l'A. africanus, le robuste Australopithèque et l'Homo habilis) et qu'aucun ne provient clairement d'un autre? De plus, aucune de ces trois n'a démontré de tendances évolutionnistes pendant leur existence sur terre.

    En bref, le scénario de l'évolution humaine, qu'on cherche à soutenir à l'aide de divers dessins de créatures imaginaires "mi-singe, mi-homme", tous paraissant dans les médias et dans les livres scolaires, n'est donc rien d'autre qu'un mensonge sans fondement scientifique animé d'une forte propagande.

    Lord Solly Zuckerman, l'un des scientifiques les plus célèbres et respectés du Royaume-Uni, a effectué pendant des années des recherches sur ce sujet et a tout particulièrement étudié pendant 15 ans des fossiles d'Australopithèques. Il a finalement conclu, bien qu'il soit lui-même un évolutionniste, qu'il n'existe en fait aucun arbre généalogique constitué de ramifications reliant directement des créatures similaires aux singes aux hommes.

    Zuckerman a également établi un nouveau "spectre de la science" qui est très intéressant. Ce spectre s'étend des domaines qu'il considéra comme étant scientifiques à ceux considérés comme non-scientifiques. Selon le spectre de Zuckerman, les domaines les plus "scientifiques", soit ceux basés sur des champs de données scientifiques concrètes, sont la chimie et la physique. Après ceux-ci viennent la biologie puis suivent les sciences sociales. A l'autre extrémité du spectre, soit la partie considérée comme étant la moins "scientifique", se trouve "la perception extrasensorielle" - des concepts tels que la télépathie et le sixième sens - et finalement "l'évolution humaine". Zuckerman en explique le raisonnement:

    Nous nous déplaçons alors directement du registre de la vérité objective vers ces champs de la science biologique présumée, comme ceux de la perception extrasensorielle ou de l'interprétation de l'histoire des fossiles humains, où, pour le fidèle (l'évolutionniste), tout est possible et où le croyant ardent (en l'évolution) est parfois capable de croire en même temps à plusieurs choses contradictoires. 


    Le mensonge de l'évolution humaine ne repose que sur des interprétations pleines de préjugés, basées sur la découverte de quelques fossiles déterrés par certaines personnes qui adhérèrent aveuglément à leur théorie.

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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:58

    Destruction de la théorie de l'évolution en 11 Minutes, par un généticien renommé mondial.   



    Aucune preuve scientifique à la philosophie de la théorie de l'évolution.

    Des experts généticiens réfutent la "philosophie "de la théorie de l'évolution qui n'est pas du tout une science attestée, elle n'est prouvée, ni démontrée.

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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:58

    Frères bogdanov, Preuve de l'existence de Dieu   




    “Est-ce que vous croyez à Dieu” ? (Albert Einstein, lettre à un enfant. Princeton,1936)

    Mensonge scientifique Vpu2

    En 1936 à Princeton, Einstein voit apparaître devant lui un enfant, qui lui posa cette question :
    “Monsieur est ce que vous croyez en Dieu?”…

    Albert Einstein lui dit : je ne peux pas te répondre tout de suite, mais donnes moi ton adresse, je vais te répondre…
    et une semaine plus tard, l’enfant recevra une réponse:

    Voici ce qu’il a écrit :

    “Tous ceux qui sont sérieusement impliqués dans la science finiront par comprendre qu’un Esprit se manifeste dans les lois de l’univers, un Esprit immensément supérieur a celui de l’homme “
    (Albert Einstein, lettre à un enfant. Princeton,1936)

    Mensonge scientifique Gdpm

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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:59

    Quand la science se trompe…

    Mensonge scientifique Yqtb

    Le célèbre médecin belge Jean-Baptiste Van Helmont, père de la chimie moderne, croyait sincèrement que la vie pouvait apparaître de manière spontanée à partir de matière inerte. 

    Et il a mené de nombreuses expériences sur ce thème. 

    En 1903, le professeur français René Blondlot était lui convaincu d’avoir découvert, après les rayons X ou Gamma, les rayons N, baptisés en l’honneur de sa ville, Nancy. Plus près de nous, en 2011, le laboratoire du Cern, en Suisse, a affirmé avoir identifié des particules se déplaçant plus vite que la lumière. Avant de se rétracter un an plus tard.

    Les erreurs scientifiques sont plus nombreuses que les résultats positifs 

    Involontaires
    Qu’elle soit expérimentale, d’interprétation ou d’ignorance, l’erreur scientifique est aussi vieille que l’histoire des sciences elle-même. 

    “Les hommes de sciences sont des défricheurs, mais aussi des êtres fragiles, victimes de leurs limites d’êtres humains, qui les aveuglent ou les retardent” , affirme l’historien Didier Chirat, qui publiera le 20 janvier l’ouvrage “Quand la science s’égare”, aux éditions La Librairie Vuibert.

    Sniff  😢

    Les erreurs scientifiques sont plus nombreuses que les résultats positifs , rappelait de son côté l’historien des sciences Girolamo Ramunni, auteur du livre “Les lieux des erreurs scientifiques”.

    Ce qui les explique, ces erreurs, à ne pas confondre avec la fraude et la malhonnêteté qui, elles, sont volontaires ? Pour Girolamo Ramunni, c’est souvent le contexte qui les explique, ou plus précisément les idées ou la culture prédominante à cette époque. Si un scientifique n’est pas de son temps, il est improductif, mais en appartenant à cette culture, il commet aussi des erreurs.

    Exemple avec Galilée, qui s’est trompé en croyant à l’existence d’une seule marée. Pour expliquer ces marées, il ne pouvait en effet imaginer d’évoquer l’idée de l’attraction à distance de la Lune, qui était considérée à l’époque comme non-scientifique, et même de la sorcellerie. 

    Ce qui amène les scientifiques dans le noir, c’est aussi l’orgueil, l’avidité, le patriotisme, exacerbé, le conservatisme religieux, ou à l’inverse l’anticléricalisme, le sexisme, énumère Didier Chirat. “Ne croyons pas que ces errements soient révolus, réservés à un lointain et obscur passé, avertit l’auteur . Le poids des préjugés qui pesaient sur leur esprit est tout aussi lourd aujourd’hui.”

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    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 9:59

    Les mensonges enseignés au nom de la science

    Les mensonges enseignés au nom de la science

    Mensonge scientifique Liar-300x199

    Premier mensonge : la science est parfaitement objective
    Les philosophes sont tous d’accord pour dire que la méthode scientifique est également soumise à cette règle. Contrairement à ce qu’on cherche constamment à nous faire croire, la science n’est pas cette institution parfaitement objective et désintéressée qui voit la réalité exactement comme elle est. Stephen J. Gould de l’Université Harvard, grande autorité scientifique du 20e siècle, l’admet franchement.

    « Nos méthodes pour apprendre sur le monde sont fortement influencées par des idées sociales préconçues et des modes de pensée biaisés que chaque chercheur doit appliquer à n’importe quel problème. Le stéréotype d’une « méthode scientifique » totalement rationnelle et objective, avec des scientifiques semblables à des robots logiques (et interchangeables), n’est qu’un mythe servant les intérêts de ceux qui le propagent. Le mythe d’un mode séparé fondé sur l’objectivité rigoureuse et mystérieuse, des connaissances largement mathématiques, daignées seulement aux initiés, peut fournir des avantages immédiats à embobiner un public dans la conviction que nous sommes un nouveau sacerdoce… le mythe du sacerdoce arcane et éclairé des scientifiques… »
    -Gould, Stephen Jay, In the Mind of the Beholder, Natural History103(2):14–16, 14 Feb. 1994.

    Pourtant, ce mythe est sans cesse renforcé.
     La science est présentée comme étant bien plus qu’une méthode parmi tant d’autres pour découvrir le monde. En effet, on suppose qu’elle est la méthode par excellence. Elle est faussement opposée à la religion qui elle n’est (supposément) que purement subjective. Il faut cependant reconnaître que lorsqu’on commence à entendre des déclarations qui attribuent ce genre d’objectivité parfaite à la science, c’est qu’elle est elle-même devenue une religion, un métanarratif. Voilà comment la science est perçue par un grand nombre de ses praticiens.

    Selon Michael Shermer, président de la société des sceptiques
    « Darwin est important parce que l’évolution l’est. L’évolution est importante parce que la science est importante. La science est importante parce qu’elle est l’histoire par excellence de notre époque, une saga épique sur qui nous sommes, d’où nous venons, et où nous allons. » (Débat avec Jonathan Wells, Pourquoi Darwin est important, à l’institut CATO 2006, http://creation.com/redirect.php?http://www.cato.org/realaudio/cbf-10-12-06.ram)

    « Nous prenons le côté de la science (la religion de la science et non la méthode scientifique) en dépit de l’absurdité de certaines de ses constructions, en dépit de son incapacité à répondre à plusieurs de ses promesses extravagantes concernant la santé et la vie, en dépit de la tolérance de la communauté scientifique pour des histoires sans fondement, parce que nous avons un engagement préalable, un engagement au matérialisme.

    « Ce n’est pas que les méthodes et les institutions de la science nous contraignent en quelque sorte à accepter une explication matérielle du monde phénoménal, mais, au contraire, que nous sommes forcés par notre adhésion a priori à des causes matérielles de créer un appareil de recherche et un ensemble de concepts qui produisent des explications matérielles, même si cela produit des résultats contre-intuitifs, mystifiant pour les non-initiés. De plus, le matérialisme est une nécessité absolue, car nous ne pouvons pas permettre au divin de mettre son pied dans la porte. » — Michael Lewontin, New York Review, p.31, 9 janvier 1997

    Manifestement, la science est pour ces gens plus qu’une méthode pour étudier l’univers. C’est une religion. 

    Ainsi, les élèves de niveau secondaire trouvent dans leurs livres :

    « Darwin savait que l’acceptation de sa théorie nécessiterait l’acceptation du matérialisme philosophique, la conviction que la matière est la substance de toute existence et que tout phénomène mental et spirituel est son sous-produit. […] Dans le monde de Darwin, nous ne sommes pas prisonniers sans défense d’un ordre mondial statique, mais, plutôt, les maîtres de notre propre destin. » -Biology: Discovering Life (2nd ed., Heath & Co., 1994, p. 161) Joseph Levine and Kenneth Miller

    On présente encore une fois la science comme étant plus qu’une méthode. Il s’agit d’un narratif religieux qui affecte notre conception de nous-mêmes. Cette même propagande se trouve souvent au niveau post-secondaire.

    On a posé une question au professeur biologiste athée de l’Université du Minnesota, Paul Z. Myers : « Quelle est votre priorité : faire avancer l’athéisme ou faire progresser la compréhension publique de la science ? Ou voyez-vous ces deux éléments comme une seule et même chose ? » Il a répondu, « Ils sont inséparables ».

    Avec cette attitude, on peut comprendre pourquoi différentes autorités scientifiques comme Gould et Zivkovic se donnent le droit d’enseigner des mensonges aux étudiants pour répandre cette religion.

    « Nous ne pouvons pas accabler les enfants avec la vérité (ou insulter leur religion, c’est-à-dire, celle de leurs parents et amis) et espérer qu’ils souriront et nous croiront. Bien sûr que la science et la religion ne sont pas deux disciplines complètement séparées, mais leur faire croire qu’elles le sont est un bon moyen de gagner leur confiance. Vous devez les mettre de votre côté, gagner leur confiance, puis leur tenir la main et les aider étape par étape. Et pendant ce lent voyage, douloureux pour beaucoup d’entre eux, il est acceptable d’utiliser temporairement certaines inexactitudes si elles vous aident à atteindre les étudiants. » Zivkovic, Bora (aka “Coturnix”), Why teaching evolution is dangerous, 25 August 2008.

    Deuxième mensonge : L’évolution est un fait
    Voici ce qu’Eugenie Scott, présidente du Centre (américain) pour l’enseignement de la science, a dit à ce sujet :

    « À mon avis, aborder la création et l’évolution en tant que sujets d’exercices de pensée critique dans les écoles primaires et secondaires risque de troubler les élèves sur l’évolution et de les conduire à rejeter l’un des thèmes majeurs de la science. »

    Pourtant, s’il s’agit vraiment d’un thème majeur de la science, d’un fait irréfutable, pourquoi cette théorie ne peut-elle pas supporter la moindre remise en question ? Il est évident que pour Scott, l’évolution et la religion scientifique la soutenant sont beaucoup plus que de simples lois scientifiques anodines comme la gravité ou la thermodynamique. Il s’agit de sa philosophie, de sa religion.

    Voir : L’évolution : science ou religion ?

    Lorsque les scientifiques prétendent être certains d’une chose qui se serait produite il y a 3 milliards d’années, ils sont assurément sortis du domaine de la science pure. On ne peut même pas prédire le temps qu’il fera dans un mois. Pourtant, le même genre de raisonnement par analogie s’applique. [s]Bien sûr que l’évolution est appuyée par certaines données scientifiques[/s], mais celles-ci doivent être filtrées par plusieurs présomptions matérialistes. Il s’agit fondamentalement d’une croyance religieuse. Le paradigme matérialiste prédétermine les preuves et les arguments qui seront considérés, ainsi que le fardeau de persuasion que devra supporter les preuves contradictoires.

    Article : Mensonges enseignés pour supporter l’évolution

    Article : Les preuves ‘incontournables’ de l’évolution

    Michael Ruse, pourtant ardent évolutionniste, fait un aveu remarquable à cet effet :

    « L’évolution est définie par ses praticiens comme étant plus qu’une science pure.

    Elle est promulguée comme une idéologie, une religion laïque, un remplacement à part entière du christianisme, avec un sens et une moralité. Je suis un évolutionniste ardent et un ancien chrétien, mais je dois admettre que, dans cette seule plainte […], les littéralistes ont tout à fait raison. L’évolution est une religion. Elle l’était au début, et l’est encore aujourd’hui. »

    « L’évolution se présente donc comme une sorte d’idéologie laïque, un substitut explicite du christianisme. » – Philosophe canadien de la science, Michael Ruse, How evolution became a religion : creationists correct ? National Post, pp. B1, B3, B7 May 13, 2000.

    « En fin de compte, la théorie darwinienne de l’évolution n’est ni plus ni moins que le grand mythe cosmogonique du XXe siècle. Comme la cosmologie fondée sur la Genèse qu’elle a remplacée, et comme les mythes de la création de l’homme antique, elle répond à la même nécessité psychologique profonde pour une explication globalisante de l’origine du monde qui a motivé tous les décideurs des mythes cosmogoniques du passé, des chamans des peuples primitifs jusqu’aux idéologues de l’église médiévale ». Denton, Michael, Evolution : A Theory in Crisis (Burnett Books, 1985), p. 358


    Conclusion
    La prochaine fois que vous entendrez, soit à l’école ou à la télé, qu’une chose est scientifique, je vous invite à réfléchir. Est-il question de la religion scientifique ou de la méthode scientifique ? Cette distinction éclairera bien des débats. Il suffit de faire le test de l’omniscience. Le scientifique est-il en train d’attribuer à sa discipline les qualités divines de l’omniscience et l’objectivité parfaite en considérant comme certain ce que la méthode scientifique ne pourrait jamais démontrer ? Si c’est le cas, ce qu’on vous présente est d’ordre religieux. Il n’y a rien de mal à écouter. Il suffit simplement de reconnaître que les scientifiques sont sortis de leurs domaines d’expertise et n’ont aucune autorité pour dire ce qu’ils disent. Soyez donc sceptiques.

    https://mieuxvivre.org/les-mensonges-enseignes-au-nom-de-la-science/

      La date/heure actuelle est Lun 29 Avr 2024 - 11:58